2ème épître à Timothée

PRENDS LE RELAIS !

WEEB 14, novembre 2008, Angoulême

Etienne LAÜGT

 

Introduction à l’épître (v. 1)

 

- Par qui ?  « Paul, apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, envoyé pour annoncer la vie véritable promise par Dieu et accessible en Jésus-Christ »

ðPaul signifie « petit », ce qui contraste avec ce titre : « apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu ». Malgré la relation privilégiée qu'il a avec Timothée, Paul rappelle ici que c'est un apôtre qui lui parle, avec l'autorité donnée par Dieu.

ð«  la vie véritable promise » : au moment où il savait qu'il allait mourir (4. 6)...

 

-Quand ? Vers l'automne 66, lors de son dernier emprisonnement, juste avant son martyr à Rome (début 67). Seul Luc est est près de lui, pour l'assister (4. 11). L'heure est sombre, vraiment !

            => Cette lettre a donc la valeur de testament de la part de ce serviteur exceptionnel.

 

-Pour qui ?  « A Timothée, mon enfant bien aimé  » (1 Cor. 4. 17) : Ce n'est pas une « lettre circulaire », impersonnelle, mais adressée à son enfant dans la foi, qui a servi 16 ou 17 ans avec lui, fidèlement (Phil. 2. 22). Adressée aussi à Tite, cette expression marque une intimité particulière, plus forte que l'expression au début d'1 Tim. : « Mon véritable enfants dans la foi ».

=> Suis-je l'enfant spirituel de quelqu'un ou ai-je un (ou des) enfant(s) spirituel(s) ? Le tutorat entre chrétiens, pourquoi pas ?

 

-Titre possible : Le sentier du Dieu dans des temps difficiles.

 

-Pour quoi ? C'est l'épître du déclin spirituel de l'Église => progression par rapport à la 1ère épitre, où les « fissures » commençaient à apparaître.

L'apôtre veut encourager Timothée à ne pas avoir honte, à prendre confiance dans son ministère de l'Evangile.

C'est donc l'épître de la tristesse (nostalgie, déception, accablement, découragement, parfois, de l'apôtre), mais aussi de l'ouvrier du Seigneur (7 titres) et des ressources de Dieu (10 ressources).

 

-Salutations : « La grâce, la miséricorde et la paix te soient données par Dieu le Père et par notre Seigneur Jésus-Christ ».

=> Cette salutation n'est pas purement formelle : Paul exprime son désir que Timothée reçoive le meilleur de la part de Dieu.

=> Ce sont là trois caractères en relation avec la vie pratique de Timothée : conscience de la grâce de Dieu qui fortifie ; besoin de la miséricorde de Dieu à cause des difficultés rencontrées ; paix profonde du cœur

 

Titre du chapitre 1 : Sois fidèle (cf. v. 14)

 

Trois grandes sections peuvent diviser ce chapitre :

1°) v. 3-7 : Sois zélé !

2°) v. 8-14 : Aie bon courage !

3°) v. 15-18 : Suis les bons exemples !

 

 

1 – Sois zélé ! (v. 3-7)

 

-v. 3-5 : Avant tout : être reconnaissant !

 

uReconnaissance en pensant à Timothée :

ü« Chaque fois que je pense à toi, mon cœur est rempli de reconnaissance envers Dieu »

üCes paroles de louange sont fréquentes au début des épitres de Paul.

üSavons-nous être reconnaissant pour chacun de nos frère ou sœur ? Et le leur dire ?

üSoyons vrais dans cette reconnaissance : par exemple, lorsqu'on écrit « le venin est-il dans la queue » ?

uReconnaissance en pensant à la foi des ascendants :

üde Paul : « Ce Dieu que je sers avec une conscience pure, à l'exemple de mes ancêtres » ou « dès » ou « à la suite de mes ancêtres », c'est-à-dire la foi d'un Juif pieux, selon les écritures de l'A.T.

èDonc il ne justifie pas ici ses actions avant sa conversion (contre les chrétiens, par ex.).

üde Timothée : « Une foi sans détour ni feinte, que j'avais déjà trouvée chez ta grand-mère Loïs (= « Pas de fuite » devant les difficultés) et ta mère Eunice (= « Victoire heureuse ») ».

üCes parents ont apporté à Timothée non seulement l'exemple de leur conduite, mais l'enseignement des « saintes lettres » : voir 3. 15 ; Deut. 6. 6-9.

üSondage : qui des parents ou grands-parents chrétien ? Quel sujet de reconnaissance !

üSon père, grec, n'est pas mentionné ici : on peut penser qu'il n'avait pas la même foi que sa compagne. D'ailleurs, d'après Act. 16. 3, Timothée n'avait pas été circoncis.

uConstance dans ses prières pour Timothée :

ü« Continuellement, nuit et jour, je te mentionne dans mes prières ».

ü« Nuit et jour »  : Voir Actes 20. 31.

uSouvenirs, souvenirs... :

ü« Je me rappelle tes larmes (lors de notre séparation) » : on peut penser qu'elles ont été versées lors de leur précédente rencontre, peut-être même lors de l'arrestation de Paul, en présence de Timothée, dans la deuxième moitié de l'an 66 (début de la persécution de Néron).

ü« Je garde en mémoire ta foi si sincère. A présent, elle habite aussi en toi, j'en suis pleinement convaincu. » 

uUne joie attendue : celle de se retrouver...

ü« J'éprouve, à ce souvenir, un ardent désir de te revoir afin que nous puissions nous réjouir ensemble. Oui, cela me comblerait de joie ! »

üPaul éprouvait pour Timothée une grande affection, et, sentant sa mort imminente, désirait le revoir (cf. 4. 9, 13, 21).

 

 

-v. 6-7 : Ensuite : exercer son don

 

uParce ce que c'est Dieu qui l'a donné : «  la flamme que Dieu a allumée en toi » ; «  le don qu'il t'a fait dans ta grâce »

üC'est un don « de grâce », donc immérité : 1 Pi. 4. 10.

uParce que c'est par l'intermédiaire de Paul (ou des anciens, d'après 1 Tim. 4. 14) qu'il l'avait reçu : « Lorsque je t'ai imposé les mains ». C'est la manifestation visible de l'autorité apostolique.

ü Personne, dans le monde chrétien d'aujourd'hui, ne peut prétendre à avoir la même autorité que les apôtres !

uSa vocation spirituelle avait été confirmée subjectivement (par son don spirituel), objectivement (à travers la prophétie le concernant) et collectivement (par confirmation des apôtres et anciens).

uParce qu'il ne doit pas rester découragé, mais plutôt ranimer son don :

ü« C'est pourquoi je te demande de raviver la flamme », comme un feu qu'on ranime en soufflant (souffle = Esprit) dessus... Par rapport à la 1ère épitre (4. 14), Timothée s'était davantage découragé : le feu risquait de s'éteindre ; la flamme avait baissé ; elle pouvait être encore ravivée, non par un sursaut d'énergie, mais par l'action de l'Esprit de Dieu.

ü« N'oublie pas d'entretenir le don qu'il t'a fait »

üQuel est mon don ? (temps de réflexion). Alors ranimons-le !

uParce que Dieu ne recherche pas des personnalités supérieures, mais des personnes ordinaires :

üCe que nous n'avons pas reçu de Dieu : « pas un esprit de timidité, de lâcheté ou de défaitisme ». Le mot grec pour « timidité » désigne la lâcheté, une crainte poltronne, due à une personnalité faible ou égoïste.

üTimothée avait sans doute un caractère un peu craintif. Il avait plusieurs motifs de se sentir accablé : la persécution grandissante de Néron, les attaques des faux-docteurs, ou ceux qui méprisaient sa jeunesse, refusant son autorité.

üCe que Dieu nous a donné : «  un esprit de courage, d'amour et d'enthousiasme, c'est un  esprit actif et aimant qui nous donne un jugement sain et une parfaite maîtrise de nous-mêmes ».

è« force » : Dieu nous donne toutes les ressources spirituelles pour supporter les épreuves, ne craignons rien !

è« amour » : cet amour nous conduit à chercher à plaire à Dieu et à rechercher le bien-être d'autrui avant le sien propre.

è« enthousiasme » : ou de conseil, de sobre bon sens, de pondération, de sagesse, auto-discipline, self-control », suivant les traductions. Cela décrit un esprit discipliné, maître de lui-même et dont les priorités sont justes. C'est l'opposé d'un esprit craintif...

üPuissance : 1 Cor. 12 ; amour : 1 Cor. 13 ; conseil : 1 Cor. 14.

 

 

2 – Aie bon courage ! (v. 8-14)

 

-v. 8-9a : Chrétien et fier de l'être !

 

uLa honte est mauvaise conseillère :

üPas de honte du témoignage du Seigneur (pas des « frères » !) : « N'aie pas honte de rendre courageusement témoignage à notre Seigneur. » Voir aussi 2. 3 et 4. 5. IL s'agit du message de l'Evangile à propos de Jésus-Christ.

üPas de honte des serviteurs du Seigneur : « Ne rougis pas non plus de moi qui suis ici en prison pour sa cause ». Comme associé de Paul, prisonnier pour sa foi, la liberté et même la vie de Timothée était en danger. Onésiphore, lui, n'a pas eu honte (v. 16).

uSouffrir pour la meilleure des causes : l'évangile : « Sois prêt, toi aussi, à souffrir avec moi pour la propagation de l'Evangile en t'appuyant sur la force que Dieu donne. »

èLes évangélistes sont bien placés pour savoir que l'évangélisation n'est pas  sans combats, ni souffrances.

uQuel est le but de l'évangile ?

èLe salut des âmes : « C'est lui qui nous a sauvés ».

èUne vie de sanctification et de consécration : « Il nous a appelés à une vie sainte et consacrée. C'est lui qui nous a adressé notre vocation particulière. »

 

- v. 9b-10 : Le si grand amour dont Il nous si aimés...

 

uPas à cause de nous : « Pas à cause de nos mérites ou de nos œuvres ». C'est la vérité centrale de l'Evangile : le salut s'obtient par grâce, par le moyen de la foi, indépendamment des œuvres

uMais à cause de lui : « parce qu'il en avait librement décidé ainsi, parce qu'il est bienveillant et qu'il désire nous accorder sa faveur ».

uEt depuis toujours : « Dès avant les temps éternels, sa grâce était là, préparée pour nous, destinée à devenir nôtre dans la communion avec Jésus-Christ ». C'est le plan souverain d'élection de Dieu.

uPar qui ? « Mais maintenant elle a été révélée, elle est devenue visible en la personne de notre Sauveur Jésus Christ. » Par le sacrifice de Christ, le plan de salut de Dieu est devenu possible...

uComment ? « Il a brisé la puissance de la mort et, par l'Evangile, il a fait resplendir à nos yeux la lumière de la vie et l'immortalité. »

üTraduit aussi par « réduire à l'impuissance », ce qui signifie rendre inopérant. Paul, serviteur de Dieu, pouvait alors envisager sereinement une telle issue... (cf. sœur Emmanuelle : « la mort ne me fait pas peur, car je vais retrouver Celui qui a déjà rempli toute ma vie ; et puis l'amour est plus fort que la mort ».

üLa mort est annulée, pas encore abolie... La mort physique n'a pas disparu, mais elle n'est plus une menace ou une ennemie pour le croyant.

üC'est par la proclamation de l'Evangile dans le NT, que Dieu a pleinement fait connaître la relative à la vie éternelle, qui n'était connue que de façon partielle par les croyants de l'A.T.

 

- v. 11-12 : Un héraut ou un héros ?

 

uPrédicateur = héraut : « C'est pour annoncer ces faits que j'ai été institué prédicateur et apôtre afin que, tel un héraut, je publie à haute voix cette Bonne Nouvelle parmi les païens et que je leur enseigne (la vérité). »

ü« Prédicateur » dérive en grec d'un verbe signifiant « proclamer ».

üLe héraut était à cette époque le serviteur chargé des proclamer les messages de l'empereur romain  : quelle fierté pour lui (et qui devrait être la même pour nous) : héraut de cette Bonne Nouvelle de Dieu !

uPaul, ce héros qui souffre... : « C'est aussi la raison de mes souffrances présentes, de cette nouvelle épreuve (qu'est mon emprisonnement). »

uPaul et son passé : « Mais je n'en ai point honte et je regrette rien » .

üPas de honte, et pourtant il était dans l'opprobre : 1 Tim. 4. 10. Voir aussi 1 Cor. 4. 11-13.

üPas de regret, car il a le sentiment du service accompli.

uPaul et son présent : « car je sais qui j'ai cru »

ü« Je sais » : le mot de la foi. Une entière confiance en Dieu est le meilleur garant pour nous aider à passer les difficultés de notre chemin sur la terre.

ü« j'ai cru » : la forme grecque renvoie à un événement passé dont les conséquences perdurent.

uPaul et son avenir : « et j'ai la ferme conviction qu'il est assez puissant pour préserver jusqu'au grand Jour tout ce qu'il m'a confié et pour me garder fidèle dans la mission dont il m'a chargé ».

üNotre Dieu est puissant pour le passé (Héb. 7. 25), le présent (ici), le futur (Phil. 3. 21).

üPaul est confiant, car il est conscient de sa mission !

üCe « grand jour » ou « ce jour-là » est appelé aussi le « jour de Christ », jour où les croyants se tiendront alors devant le trône et recevront leur récompenses.

 

- v. 13-14 : Parole de Dieu, paroles des hommes.

 

uModèle, exposé, sommaire, exemple, souvenir des paroles entendues des serviteurs de Dieu : « Conserve le souvenir exact des salutaires paroles que tu as entendues de moi, prends-les pour norme de la saine doctrine. Retiens-les dans l'esprit de foi et d'amour que la communion avec Jésus-Christ fait naître. »

üLes paroles de Paul étaient inspirées de Dieu, il fallait n'en perdre aucune. Timothée les avaient particulièrement reçues : 3. 10.

üLes écrits étaient rares à l'époque, il fallait en avoir un résumé, par commodité : le roi d'Israël devait s'écrire une copie du livre de la Loi (Deut. 17. 18).

üLes écrits, les commentaires bibliques ont une valeur certaine, mais sans prétendre atteindre la Parole de Dieu...

üVeillons à ne pas privilégier certains passages à d'autres : la Parole est utile dans son ensemble, il ne faut pas en choisir des portions comme un plat sur la carte des menus au restaurant....

üLa foi et l'amour sont nécessaires pour bien recevoir la Parole, pas l'intelligence seulement ! La « foi », c'est la confiance dans la vérité de la Parole de Dieu ; « l'amour », c'est la douceur et la compassion dans l'enseignement de cette vérité.

uParole de Dieu : « Garde intact ce bien précieux qui t'a été remis, ce bel héritage qui t'est échu. Accomplis bien  la tâche dont tu es chargé. L'Esprit-Saint qui habite en nous t'en donnera la force ».

üDans toute l'histoire de l'Église, Dieu a utilisé des « Paul » et des « Timothée » pour que sa Parole soit conservée jusqu'en 2008.

üDans cette épitre, la Parole de Dieu est : 1°) à recevoir pour soi-même (ici) ; 2°) à transmettre à d'autres (2. 1-2) ; 3°) à étudier soigneusement (2. 7) ; 4°) à interpréter droitement (2. 14-15) ; 5°) à enseigner avec douceur (2. 24-26) ; 6°) d'une utilité universelle (3. 14-17) ; 7°) à prêcher sans se lasser (4. 1-2).

ü L'ensemble de la doctrine des Saintes Écritures (ou le « bon dépôt ») ne peut se garder que par l'Esprit Saint qui habite en nous.

 

 

3 – Suis les bons exemples ! (v. 15-18)

 

-v. 15 : Une « bande de lâches »...

 

uMais où sont donc passées leurs larmes ? Ephèse est la capitale de l'Asie : les anciens de cette ville pleuraient le départ de Paul (Act. 20. 37). Et maintenant ? 

ü«  Sais-tu que tous les chrétiens qui habitent l'Asie Mineure se sont détournés de moi et m'ont abandonné  »

üA Rome aussi, Paul sentira cet abandon : 4. 16

u2 exemples, peut-être ceux qui lui avaient fait le plus de peine ou qui avaient pris la part la plus active dans cet abandon :  

ü«  Phygèle » :  son nom signifie « fugitif »

ü « Hermogène » : son nom vient de « Hermès », le dieu des voyageurs et voleurs. 

üIls n'avaient pas résisté à la pression des persécutions, avaient eu honte de Paul et avaient déserté.

uCes exemples de lâcheté, comme celui du reniement de Pierre, doivent m'avertir sur moi-même : par exemple, combien de fois ai-je renié mon Seigneur, en serait-ce que par mes silences ?

 

-v. 16-17 : Un véritable « baume au cœur » pour Paul : Onésiphore

 

uCe qu'il a fait :

ü« Onésiphore m'a souvent réconforté » : son nom signifie « celui qui apporte du profit » ou « celui qui console » (comme un Philémon, v. 7). Soyons comme lui, de ceux qui « apportent la miséricorde » (Rom. 12. 8). Paul, malgré sa communion personnelle remarquable avec son Sauveur, avait besoin de ses frères, sans doute humbles, « inférieurs » spirituellement : il prend courage en les voyant, en Act. 28. 15.

è Est-ce que nous avons besoin de la communion de tous les autres chrétiens ?

è Est-ce que les anciens de mon église peuvent compter sur mon soutien actif ?

ü«  Lui, du moins, n'a pas eu honte de me rendre visite en prison » : au ciel, selon Mat. 25. 36, Jésus lui dira : « J'étais en prison et vous êtes venus auprès de moi ».

ü« Dès son arrivée à Rome, il s'est mis activement à ma recherche, il n'a reculé devant aucune fatigue, aussi a-t-il fini par me découvrir. » :

èCe texte implique que cela avait nécessité du temps et des efforts, sans crainte du danger. Et pourtant c'était une grande ville, même à l'époque !

èCela signifie que personne, à Rome, ne savait donc où était Paul ??! Ni pouvait lui prêter un manteau (4. 13) ?

ü « Tu sais mieux que personne combien de services il m'a rendus à Ephèse. » : Paul aime souligner son travail d'amour qui se montre de façon très pratique : rendre service. La demande de Paul en 4. 19 à Timothée de saluer sa famille indique qu'il vivait à Ephèse ou dans les environs. 

 

uCe qu'il mérite :   

ü2 fois, pour lui et sa famille : «  Que le Seigneur lui fasse sentir sa miséricorde à toute sa famille. » ; « Que le Seigneur (Jésus) lui fasse trouver miséricorde auprès de Dieu au Jour (du jugement) ». C'est la réalisation de Mat. 5. 7 : « Bienheureux les miséricordieux, car c'est à eux que miséricorde sera faite ». Cette miséricorde pour nous n'est pas que pour la terre, mais aussi pour le ciel !

üIl figure en bonne place dans les salutations finales de Paul, ses adieux définitifs : 4. 19

 

 

 

BIBLIOGRAPHIE

(Pour donner envie d’approfondir encore l’étude personnelle de cette épître)

 

-ANDRE Georges : Timothée, serviteur du Christ Jésus

-BAKER J. R. :  What the Bible teaches : 2 Timothy

-BAXTER J. Sidlow : Acts to Revelation

-DARBY John N : Études sur la Parole : 2 Timothée

-DENNETT Edward : An exposition of second Timothy

-KELLY William : Lectures introductory to the… catholic epistles

-HARDING Phillip : An exposition of second Timothy

-HOLE F. B. : 2 Timothy

-KELLY William : Lectures introductory to the study of the epistles of Paul the apostle : 2nd Timothy

-KELLY William : An exposition of the two epistle to Timothy : 2 Timothy

-KING Guy H. : To my son. An expositional study of 2 Timothy

-REMMERS Arend : 2ème épître à Timothée (in "Sondez les Écritures" n° 11)

-RODGERS William : Notes on the pastoral epistles

-ROSSIER Henri : Étude sur la 2ème épître à Timothée

-STOTT John R. W. : Guard the gospel : The message of 2 Timothy

-VINE W. E. :   2 Timothy

-VOORHOEVE J. N. and HADLEY E. C. : Readings and meditations on second Timothy

-WIERSBE (Warren W.) : The Bible exposition commentary

 

 

Traductions consultées :

-Nouveau Testament interlinéaire grec/français

-Édition JN Darby dite de « Pau Vevey » (1872)

-Version Louis Segond (1910) et (revue 1975)

-Version Louis Segond (revue 1979), avec notes de C.I. Scofield (1997)

-La Bible du semeur (1992)

-Traduction en Français courant (1996)

-Nouveau Testament révisé BPC Valence

 

Transcriptions consultées :

-Lettres pour notre temps, Alfred Kuen (1970)

-Parole vivante (NT), Alfred Kuen (1976)

 

(Liste non exhaustive)