WEEB 12 – Novembre
2007-10-31
Atelier ; Chrétien vraiment et fier de l’être
« Je croirais en leur Sauveur s’ils avaient des
tête de sauvés « (Nietzsche)
Je n’ai pas honte de
l’évangile, il est la puissance de Dieu en
salut à quiconque croit
Je n’ai pas de honte car je sais qui j’ai cru et je suis
persuadé qu’il a la puissance de garder ce que je lui ai confié jusqu’à ce jour
2 Tim 1,12
N’aie pas honte du
témoignage de notre Seigneur…la puissance de Dieu nous a
sauvés, nous a appelés d’un saint appel non selon nos œuvres,, mais selon son
propre dessein, et sa propre grâce donnée dans le Christ Jésus, manifestée
maintenant par l’apparition du Christ Jésus
1 Tim 1,8-12
Nous sommes plus que
vainqueurs par celui qui nous a aimés Rom 8,
37
Nous tirons fierté dans l’espérance
de la gloire de Dieu…nous tirons fierté dans nos détresse…l’espérance ne rend
pas honteux parce que l’amour est versé dans nos cœurs
Revoir aussi plusieurs textes de 1
Jean : enfants de Dieu- foi- assurance- certitudes
Je suis le chemin la vérité et la
vie, nul ne vient au Père que par moi Jean 14
L’évangile
est une personne Jésus-Christ Fils de Dieu, Seigneur
L’évangile
est la puissance de Dieu, la justice de Dieu révélée pour le salut de l’homme
L’évangile
est un message glorieux à un homme privé de la gloire à cause du péché (Romains
1-3)
L’évangile
un message de vérité et d’absolu à un monde ou tout est relatif et sans
référence
De certitudes à un monde sans repères
D’amour de
l’autre dans un monde de haine,
d’égoïsme, d’individualisme
De liberté contre le péché qui rend
esclave
De
liberté dans la
reconnaissance de la souveraineté de Dieu
De
dignité de la personne
De respect de la vie
dans une humanité prête à perdre son identité
Comment
être humble mais assuré, convaincu, fier (nous
nous glorifions) d’être des chrétiens, des sauvés
Etre
convaincu de la valeur essentielle du christianisme : tu aimeras l’Eternel
ton Dieu
et ton prochain
Comment ne
pas subir mais assumer, ne pas être triste mais joyeux, ne pas être contraint
mais libre, ne pas juger mais témoigner. Comment avoir « une tête de
sauvé »